benevolat à l'étranger

Travaillant en freelance, je suis relativement libre de partir en week-end ou en vacances quand bon me semble et aussi longtemps que je le souhaite.

Afin d’occuper ces débuts de vacances d’été d’une façon atypique et plus utile que le redoutable trio « plage-bronzage-paresse », j’ai décidé de partir en bénévolat à l’étranger pendant deux semaines.

Cela me permettait de faire une expérience extraordinaire, inoubliable et militante. Récit d’une merveilleuse aventure…

Trouver une association

Après avoir regardé sur Internet les différentes missions de bénévolat proposées (et elles sont nombreuses !), j’ai opté pour une association qui m’a paru la plus sincère et la plus fiable, je ne dirais pas son nom car c’est à vous de chercher, je pense, celle qu’il vous conviendra le mieux. Sensible à l’écologie et à la dégradation de notre environnement, j’ai été immédiatement touchée par les opérations proposées par cette association. Quelques clics et formulaires plus tard, me voilà inscrite pour partir en congé solidaire au Kenya.

Le but de la mission : aider les employés dans une usine de fabrication artisanale de papier.

Départ pour le Kenya

Dès mon arrivée à l’aéroport de Mombasa, j’ai été charmée par le pays, par ses habitants et les paysages. L’Afrique est un continent qui a beaucoup à donner mais qui nécessite également l’aide internationale pour l’aider dans son développement. Tous les volontaires sont emmenés au centre de recherche médicale à Kwale, près des restaurants et à l’endroit-même de la formation.

Le bénévolat au Kenya

Mon nouveau quotidien était alors d’aller chaque matin au parc de formation en voiture, aider les employées de l’usine, et aller manger dans un des restaurants locaux de Kwale.

J’ai appris à fabriquer artisanalement du papier avec du papier recyclé, de la colle, de la peinture, des cadres en bois avec une grille et d’autres outils spécifiques ainsi que… de la bouse d’éléphant ! Plutôt surprenant et très peu attrayant au premier abord, je dois le reconnaître !

Bien sûr, travailler avec de tels outils avec des techniques artisanales et une culture si différente de ce que je connaissais alors nécessitent beaucoup de pédagogie, de patience et d’adaptabilité. Il est nécessaire de comprendre le contexte et la culture dans laquelle on est plongé et le fait que dans un pays comme le Kenya, les moyens ne sont pas les mêmes.

Je recommande à chacun de tenter une telle aventure dès que l’occasion se présente. Ces deux semaines ont été enrichissantes à tous points de vue et j’ai hâte de recommencer un séjour de bénévolat à l’étranger !

Et vous le bénévolat vous y pensez des fois ?

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